Comme dans toutes les bonnes familles bourgeoises, les agresseurs des milieux alternatifs et leurs complices pensent qu’il suffit de ne pas parler de violence pour qu’elle n’existe pas. Alors qu’invisibiliser les violences patriarcales rajoute au contraire de la violence à la violence !
Nous féministes constatons une fois de plus que l’anti-sexisme ne fait pas partie du package libertaire.
C’est pourquoi, nous apportons toute notre solidarité aux camarades féministes victimes de censure, d’agressions verbales et physiques au sein du lieu le Transfo à Paris.
Brisons la loi du silence !
Nous refusons d’être agressées, censurées, bastillonnées !
Hey man, si tu frappes une femme, fais gaffe qu’un jour elle ne te défonce le crâne !
Féministes tant qu’il le faudra!
Le collectif anarcha-féminsiste Ovaires et Contre Tout de Bordeaux.